Last check-in: 2012-08-18
A 30 km à l'ouest de Vichy et à 20 km au sud de Saint-Pourçain-sur-Sioule, Charroux est une escapade bourbonnaise pleine de charme... et de caractère ! Célèbre, en effet, pour sa moutarde utilisée par quelques grands chefs et exportée à l'international, cette ancienne place forte et commerçante a aussi d'autres arguments à faire valoir.
A 30 km à l'ouest de Vichy et à 20 km au sud de Saint-Pourçain-sur-Sioule, Charroux est une escapade bourbonnaise pleine de charme... et de caractère ! Célèbre, en effet, pour sa moutarde utilisée par quelques grands chefs et exportée à l'international, cette ancienne place forte et commerçante a aussi d'autres arguments à faire valoir.
Last check-in: 2011-08-23
Ce hameau de la commune de Comprégnac aura définitivement une destinée singulière : à seulement 7 kilomètres de Millau, ses maisons de pierres claires s'étirent le long d'une falaise abrupte, face au plus haut viaduc du monde. Devant l'église semi-troglodytique, une place ouverte offre une vue imprenable sur l'ouvrage d'art et les vertes eaux du Tarn.
Ce hameau de la commune de Comprégnac aura définitivement une destinée singulière : à seulement 7 kilomètres de Millau, ses maisons de pierres claires s'étirent le long d'une falaise abrupte, face au plus haut viaduc du monde. Devant l'église semi-troglodytique, une place ouverte offre une vue imprenable sur l'ouvrage d'art et les vertes eaux du Tarn.
Last check-in: 2011-08-22
Installée sur la rive droite du Lot, Sainte-Eulalie s'est organisée en arcs de cercles autour de la place de l'église, chef d'oeuvre de l'art roman et gothique. Dans les ruelles pavées de galets du Lot, les demeures, passionnément fleuries par les habitants, datent du XV au XVIIIe S. Particularité du village, les moulins, le long du ruisseau de la Serre témoignent des anciennes activités de tanneries, draperies... qui utilisaient la force motrice de leau.
Installée sur la rive droite du Lot, Sainte-Eulalie s'est organisée en arcs de cercles autour de la place de l'église, chef d'oeuvre de l'art roman et gothique. Dans les ruelles pavées de galets du Lot, les demeures, passionnément fleuries par les habitants, datent du XV au XVIIIe S. Particularité du village, les moulins, le long du ruisseau de la Serre témoignent des anciennes activités de tanneries, draperies... qui utilisaient la force motrice de leau.
Last check-in: 2006-08-19
Au pied des monts d'Aubrac, non loin des gorges du Lot et de la Truyère, les pèlerins en route vers Compostelle empruntent le pont gothique d'Estaing avant de découvrir son château et l'histoire d'une illustre famille de seigneurs. L'un d'eux s'illustra en sauvant la vie du roi Philippe-Auguste à Bouvines qui octroya alors au village le droit de porter sur ses armes les fleurs de lys royales. Regroupées autour du donjon d'un château des XII et XVème siècles, maisons de schiste et toits de lauzes comptent encore parmi elles quelques beaux hôtels particuliers.
Au pied des monts d'Aubrac, non loin des gorges du Lot et de la Truyère, les pèlerins en route vers Compostelle empruntent le pont gothique d'Estaing avant de découvrir son château et l'histoire d'une illustre famille de seigneurs. L'un d'eux s'illustra en sauvant la vie du roi Philippe-Auguste à Bouvines qui octroya alors au village le droit de porter sur ses armes les fleurs de lys royales. Regroupées autour du donjon d'un château des XII et XVème siècles, maisons de schiste et toits de lauzes comptent encore parmi elles quelques beaux hôtels particuliers.
Sur le haut plateau des Causses du Larzac, La Couvertoirade raconte plusieurs histoires : celle des Templiers qui édifièrent le château au XIIème siècle, celle des Hospitaliers qui, au XVème siècle, leur succédèrent et enfermèrent la cité dans une couronne de remparts puis celle de l'apogée économique et démographique du village avec ses belles demeures des XVI et XVIIème siècles.
Sur le haut plateau des Causses du Larzac, La Couvertoirade raconte plusieurs histoires : celle des Templiers qui édifièrent le château au XIIème siècle, celle des Hospitaliers qui, au XVème siècle, leur succédèrent et enfermèrent la cité dans une couronne de remparts puis celle de l'apogée économique et démographique du village avec ses belles demeures des XVI et XVIIème siècles.
Last check-in: 2009-07-15
Au coeur de la vallée du Lot, cette étape incontournable des Chemins de Saint-Jacques recèle bien des trésors : autour des maisons à colombages, l'abbatiale Sainte-Foy des XI et XIIème siècles, ses 250 chapiteaux, ses vitraux contemporains de Pierre Soulages et son tympan aux 124 personnages sculptés dans la représentation du Jugement Dernier, mais aussi LE Trésor, celui de Sainte-Foy, reliquaire recouvert d'or et de pierres précieuses...
Au coeur de la vallée du Lot, cette étape incontournable des Chemins de Saint-Jacques recèle bien des trésors : autour des maisons à colombages, l'abbatiale Sainte-Foy des XI et XIIème siècles, ses 250 chapiteaux, ses vitraux contemporains de Pierre Soulages et son tympan aux 124 personnages sculptés dans la représentation du Jugement Dernier, mais aussi LE Trésor, celui de Sainte-Foy, reliquaire recouvert d'or et de pierres précieuses...
Dans cette ancienne étape sur la route de Saint-Jacques-de-Compostelle, sur les bords de l'Aveyron, maisons en pierres et toits de lauzes s'étagent au pied du château fort remarquablement restauré à la fin des années 1970 par l'architecte Fernand Pouillon.
Dans cette ancienne étape sur la route de Saint-Jacques-de-Compostelle, sur les bords de l'Aveyron, maisons en pierres et toits de lauzes s'étagent au pied du château fort remarquablement restauré à la fin des années 1970 par l'architecte Fernand Pouillon.
A 50 km au sud de Rodez, au confluent du Tarn et de l'Alrance, les tours d'un château médiéval dominent le village de Brousse à qui il a donné son nom. Un vieux pont gothique enjambe l'Alrance pour mener aux ruelles dallées et à l'église fortifiée du XVème siècle.
A 50 km au sud de Rodez, au confluent du Tarn et de l'Alrance, les tours d'un château médiéval dominent le village de Brousse à qui il a donné son nom. Un vieux pont gothique enjambe l'Alrance pour mener aux ruelles dallées et à l'église fortifiée du XVème siècle.
Last check-in: 2013-05-19
Né à l'époque féodale, Salers s'est développé derrière ses remparts à partir du XVème siècle. Mais c'est au XVIème siècle que le village prend une dimension plus importante, en devenant, sur ordre d'Henri II, le siège du Bailliage des Hautes Montagnes d'Auvergne. Ce tribunal royal apporte une notoriété et un développement incontestables et, avec eux, la naissance du cur historique de Salers. Autour de la place Tyssandier-d'Escous se dressent de magnifiques demeures édifiées par les riches familles de bourgeois et de magistrats, fièrement parées de blasons, toits en poivrière, linteaux sculptés et fenêtres à meneaux. L'église Saint-Mathieu, au porche originel du XIIème siècle et maintes fois remaniée, témoigne de la double influence historique médiévale et Renaissance. Tout de pierre volcanique et de toits de lauze vêtu, le village de Salers offre au regard une unité architecturale à la beauté minérale qui n'est pas étrangère à son classement parmi Les Plus Beaux Villages de France
C'est d'ailleurs à Salers que fut créée l'association éponyme en 1982 !
Né à l'époque féodale, Salers s'est développé derrière ses remparts à partir du XVème siècle. Mais c'est au XVIème siècle que le village prend une dimension plus importante, en devenant, sur ordre d'Henri II, le siège du Bailliage des Hautes Montagnes d'Auvergne. Ce tribunal royal apporte une notoriété et un développement incontestables et, avec eux, la naissance du cur historique de Salers. Autour de la place Tyssandier-d'Escous se dressent de magnifiques demeures édifiées par les riches familles de bourgeois et de magistrats, fièrement parées de blasons, toits en poivrière, linteaux sculptés et fenêtres à meneaux. L'église Saint-Mathieu, au porche originel du XIIème siècle et maintes fois remaniée, témoigne de la double influence historique médiévale et Renaissance. Tout de pierre volcanique et de toits de lauze vêtu, le village de Salers offre au regard une unité architecturale à la beauté minérale qui n'est pas étrangère à son classement parmi Les Plus Beaux Villages de France
C'est d'ailleurs à Salers que fut créée l'association éponyme en 1982 !
Au coeur des monts du Cantal, Tournemire est un charmant village verdoyant sur lequel veille le château d'Anjon,y magnifique bâtisse au corps carré et aux quatre tours rondes. Autour de l'église romane du XIIe S, les maisons des XIV et XVe S, avec leurs murs en pierres de tuf et leurs toits de lauze ou d'ardoise, sont typiques de l'habitat traditionnel cantalien.
Au coeur des monts du Cantal, Tournemire est un charmant village verdoyant sur lequel veille le château d'Anjon,y magnifique bâtisse au corps carré et aux quatre tours rondes. Autour de l'église romane du XIIe S, les maisons des XIV et XVe S, avec leurs murs en pierres de tuf et leurs toits de lauze ou d'ardoise, sont typiques de l'habitat traditionnel cantalien.
C'est au Xème siècle que les premiers écrits mentionnent la présence d'une forteresse destinée à protéger la ville du Puy-en-Velay toute proche. Mais c'est véritablement la famille de Polignac qui va développer l'édifice aux XIV-XVème siècles avec un impressionnant système défensif : un donjon de 32m de haut, 800 mètres de remparts, 6 portes fortifiées
qui contribuent aussi à asseoir la puissance de ces seigneurs. Surnommés les "rois des montagnes" par François 1er, les Polignac occupent les plus hautes fonctions auprès du Roi de France dès le XVIIème siècle. Au pied de la forteresse, un village s'établit peu à peu avec les premiers paysans qui y installent fermes et maisons fortes. Si le site castral appartient toujours à la famille de Polignac, il offre à la région du Puy-en-Velay non plus sa protection mais probablement l'un des plus beaux points de vue sur ses paysages !
C'est au Xème siècle que les premiers écrits mentionnent la présence d'une forteresse destinée à protéger la ville du Puy-en-Velay toute proche. Mais c'est véritablement la famille de Polignac qui va développer l'édifice aux XIV-XVème siècles avec un impressionnant système défensif : un donjon de 32m de haut, 800 mètres de remparts, 6 portes fortifiées
qui contribuent aussi à asseoir la puissance de ces seigneurs. Surnommés les "rois des montagnes" par François 1er, les Polignac occupent les plus hautes fonctions auprès du Roi de France dès le XVIIème siècle. Au pied de la forteresse, un village s'établit peu à peu avec les premiers paysans qui y installent fermes et maisons fortes. Si le site castral appartient toujours à la famille de Polignac, il offre à la région du Puy-en-Velay non plus sa protection mais probablement l'un des plus beaux points de vue sur ses paysages !
While the goats are no longer here, you can still see the path that was named after them. The Rotte aux biques, the aptly named goat's path that winds its way over the flanks of the hillside, offering spectacular views looking down over Lavardin village and the beautiful rolling hills of the Loir valley. The path, part of the GR35, borders several troglodytic constructions, some of which are still used as homes, while others house B&Bs or artist's studios.
While the goats are no longer here, you can still see the path that was named after them. The Rotte aux biques, the aptly named goat's path that winds its way over the flanks of the hillside, offering spectacular views looking down over Lavardin village and the beautiful rolling hills of the Loir valley. The path, part of the GR35, borders several troglodytic constructions, some of which are still used as homes, while others house B&Bs or artist's studios.
Lavoûte-Chilhac tient son nom du latin volta, la "boucle", une référence au parcours sinueux de l'Allier dans lequel le village s'est enserré, que l'on retrouve d'ailleurs dans les premières mentions des lieux. Le 14 septembre 1025, Odilon de Mercur, 5ème Abbé de Cluny dont l'ordre rayonne dans tout l'Occident chrétien à partir du XIe siècle, signe en effet la charte de fondation du prieuré "Sainte-Croix de La Volte". C'est donc autour de ce prieuré Clunisien que le village va se développer, en s'adaptant aux exigences du site, constitué d'un cirque rocheux et de la rivière Allier formant une boucle presque parfaite et un isthme étroit. Aujourd'hui, il ne reste rien de l'ancien prieuré fondé par Odilon de Mercoeur, modifié à plusieurs reprises jusqu'à la révolution. La plus grande partie des bâtiments visibles date de la fin du XVIIIème siècle. Ils s'insèrent dans les fortifications de la fin du Moyen Âge et sont disposés autour de l'église prieurale Sainte Croix du XVème siècle.
Lavoûte-Chilhac tient son nom du latin volta, la "boucle", une référence au parcours sinueux de l'Allier dans lequel le village s'est enserré, que l'on retrouve d'ailleurs dans les premières mentions des lieux. Le 14 septembre 1025, Odilon de Mercur, 5ème Abbé de Cluny dont l'ordre rayonne dans tout l'Occident chrétien à partir du XIe siècle, signe en effet la charte de fondation du prieuré "Sainte-Croix de La Volte". C'est donc autour de ce prieuré Clunisien que le village va se développer, en s'adaptant aux exigences du site, constitué d'un cirque rocheux et de la rivière Allier formant une boucle presque parfaite et un isthme étroit. Aujourd'hui, il ne reste rien de l'ancien prieuré fondé par Odilon de Mercoeur, modifié à plusieurs reprises jusqu'à la révolution. La plus grande partie des bâtiments visibles date de la fin du XVIIIème siècle. Ils s'insèrent dans les fortifications de la fin du Moyen Âge et sont disposés autour de l'église prieurale Sainte Croix du XVème siècle.
Dominant la vallée du Haut Allier, sur la voie Régordane reliant l'Auvergne au Languedoc, cette ancienne place forte était une étape importante pour les marchands important les denrées du Midi ainsi que pour les pèlerins en route vers Saint-Gilles et venant du Puy-en-Velay. Témoins de cette époque prospère, les demeures nobles aux murs de pierre et arcades, dont les hautes façades s'érigent contre les bourrasques cévenoles, ont vu passer des générations de voyageurs, parfois célèbres, à l'instar de l'écrivain écossais Robert Louis Stevenson qui a donné son nom à cette voie devenue le GR 70.
Dominant la vallée du Haut Allier, sur la voie Régordane reliant l'Auvergne au Languedoc, cette ancienne place forte était une étape importante pour les marchands important les denrées du Midi ainsi que pour les pèlerins en route vers Saint-Gilles et venant du Puy-en-Velay. Témoins de cette époque prospère, les demeures nobles aux murs de pierre et arcades, dont les hautes façades s'érigent contre les bourrasques cévenoles, ont vu passer des générations de voyageurs, parfois célèbres, à l'instar de l'écrivain écossais Robert Louis Stevenson qui a donné son nom à cette voie devenue le GR 70.
C'est à son abbaye bénédictine créée au IXème siècle que Blesle doit son existence et son essor. Si de la forteresse bâtie par les barons de Mercoeur ne subsiste que donjon, tours et mur d'enceinte, maisons à pans de bois et portes sculptées témoignent encore du passé médiéval du village.
C'est à son abbaye bénédictine créée au IXème siècle que Blesle doit son existence et son essor. Si de la forteresse bâtie par les barons de Mercoeur ne subsiste que donjon, tours et mur d'enceinte, maisons à pans de bois et portes sculptées témoignent encore du passé médiéval du village.
Arlempdes donne à voir à ceux qui le découvrent, au détour d'un virage, un véritable spectacle. Dressé au sommet d'un piton volcanique que la Loire entoure d'un méandre, le village dévoile les vestiges de son château, le premier du fleuve depuis sa source.
Arlempdes donne à voir à ceux qui le découvrent, au détour d'un virage, un véritable spectacle. Dressé au sommet d'un piton volcanique que la Loire entoure d'un méandre, le village dévoile les vestiges de son château, le premier du fleuve depuis sa source.
Au coeur de la Margeride et de la verdoyante vallée de la Truyère, dans l'ancien pays du Gévaudan, la cité médiévale du Malzieu-Ville offre une étape de choix pour les passionnés d'histoire et de nature.
Au coeur de la Margeride et de la verdoyante vallée de la Truyère, dans l'ancien pays du Gévaudan, la cité médiévale du Malzieu-Ville offre une étape de choix pour les passionnés d'histoire et de nature.
Dans une ambiance digne de certains paysages d'Ecosse, La Garde-Guerin domine, du haut de son plateau, l'impressionnant canyon du Chassezac. Ancien site stratégique sur la Voie Régordane reliant les côtes du Languedoc au Massif Central, le village fut plusieurs fois attaqué mais a conservé sa tour de guet ainsi que son habitat et ses ruelles empierrées.
Dans une ambiance digne de certains paysages d'Ecosse, La Garde-Guerin domine, du haut de son plateau, l'impressionnant canyon du Chassezac. Ancien site stratégique sur la Voie Régordane reliant les côtes du Languedoc au Massif Central, le village fut plusieurs fois attaqué mais a conservé sa tour de guet ainsi que son habitat et ses ruelles empierrées.
Sur l'autoroute A75, reliant Clermont-Ferrand à Montpellier au fil de paysages aussi exceptionnels que variés, Montpeyroux offre l'un des tous premiers points d'intérêt au départ de la capitale auvergnate. Depuis cet axe routier majeur, la bien-nommée « Méridienne », l'harmonieuse silhouette du village, enroulé au pied de son donjon, incite le visiteur à s'arrêter pour une incursion au Moyen Âge ! A cette époque, l'A75 se nommait « voie Régordane » et Montpeyroux avait pour illustres seigneurs Catherine de Médicis puis Marguerite de Valois, descendantes de la puissante famille de la Tour d'Auvergne. Le village reste caractéristique de l'organisation d'une cité médiévale de la région. De son système de défense ne subsistent que la magnifique porte fortifiée du XIVème siècle surmontée d'une horloge et l'imposante tour autrefois située au cur de la forteresse. S'élevant sur trois étages, sa plateforme crénelée permettait de surveiller aussi bien les risques d'attaques que ceux liés aux incendies ou aux crues de l'Allier tout proche. Accessible au visiteur, l'édifice offre une vue plongeante sur les toits du village et un point de vue unique sur la chaîne des puys, le massif du Sancy et les monts du Cantal.
Sur l'autoroute A75, reliant Clermont-Ferrand à Montpellier au fil de paysages aussi exceptionnels que variés, Montpeyroux offre l'un des tous premiers points d'intérêt au départ de la capitale auvergnate. Depuis cet axe routier majeur, la bien-nommée « Méridienne », l'harmonieuse silhouette du village, enroulé au pied de son donjon, incite le visiteur à s'arrêter pour une incursion au Moyen Âge ! A cette époque, l'A75 se nommait « voie Régordane » et Montpeyroux avait pour illustres seigneurs Catherine de Médicis puis Marguerite de Valois, descendantes de la puissante famille de la Tour d'Auvergne. Le village reste caractéristique de l'organisation d'une cité médiévale de la région. De son système de défense ne subsistent que la magnifique porte fortifiée du XIVème siècle surmontée d'une horloge et l'imposante tour autrefois située au cur de la forteresse. S'élevant sur trois étages, sa plateforme crénelée permettait de surveiller aussi bien les risques d'attaques que ceux liés aux incendies ou aux crues de l'Allier tout proche. Accessible au visiteur, l'édifice offre une vue plongeante sur les toits du village et un point de vue unique sur la chaîne des puys, le massif du Sancy et les monts du Cantal.
Accroché à un piton volcanique face à la chaîne des puys, aux monts Dore et au plateau du Cézallier, Usson et ses maisons vigneronnes de pierre noire furent autrefois dominées par un château qui fut pendant 19 ans, le lieu d'exil de la Reine Margot. Au sud de l'église romane Saint-Maurice et de la chapelle de la reine, un sentier mène aux orgues basaltiques du village.
Accroché à un piton volcanique face à la chaîne des puys, aux monts Dore et au plateau du Cézallier, Usson et ses maisons vigneronnes de pierre noire furent autrefois dominées par un château qui fut pendant 19 ans, le lieu d'exil de la Reine Margot. Au sud de l'église romane Saint-Maurice et de la chapelle de la reine, un sentier mène aux orgues basaltiques du village.