Le village de Lyons-la-Forêt se serait constitué autour d'un château fort édifié au XIème siècle par Guillaume le Conquérant et achevé par son fils cadet le roi Henri Ier dit Beauclerc. Sa position stratégique à proximité de l'immense domaine forestier sur la frontière des Royaumes d'Angleterre et de France nourrit les conflits entre Ducs de Normandie et Rois de France. Tantôt siège militaire, tantôt lieu de villégiature et de chasse pour Saint-Louis ou encore Philippe Le Bel, Lyons-la-Forêt perd son château dans un incendie mais retrouve paix et prestige au XVIème siècle par l'établissement d'un bailliage. L'essentiel des constructions date de cette période : l'hôtel de ville, ancien siège du bailliage, qui a conservé sa salle du tribunal avec le mobilier d'époque et une tenture aux fleurs de lys du XVIIIème siècle, ou la magnifique halle au cur du village. A partir du XVIIème siècle, les artistes succèdent aux seigneurs et font de Lyons une destination mondaine : Isaac de Benserade, poète à la cour de Louis XIV s'y installe, tout comme plus tard Maurice Ravel. Leurs imposantes demeures aux façades hourdies de briques ou de pans de bois comptent parmi les plus beaux témoignages du patrimoine architectural de Lyons.
Le village de Lyons-la-Forêt se serait constitué autour d'un château fort édifié au XIème siècle par Guillaume le Conquérant et achevé par son fils cadet le roi Henri Ier dit Beauclerc. Sa position stratégique à proximité de l'immense domaine forestier sur la frontière des Royaumes d'Angleterre et de France nourrit les conflits entre Ducs de Normandie et Rois de France. Tantôt siège militaire, tantôt lieu de villégiature et de chasse pour Saint-Louis ou encore Philippe Le Bel, Lyons-la-Forêt perd son château dans un incendie mais retrouve paix et prestige au XVIème siècle par l'établissement d'un bailliage. L'essentiel des constructions date de cette période : l'hôtel de ville, ancien siège du bailliage, qui a conservé sa salle du tribunal avec le mobilier d'époque et une tenture aux fleurs de lys du XVIIIème siècle, ou la magnifique halle au cur du village. A partir du XVIIème siècle, les artistes succèdent aux seigneurs et font de Lyons une destination mondaine : Isaac de Benserade, poète à la cour de Louis XIV s'y installe, tout comme plus tard Maurice Ravel. Leurs imposantes demeures aux façades hourdies de briques ou de pans de bois comptent parmi les plus beaux témoignages du patrimoine architectural de Lyons.
Entre Rouen et Lisieux, dans un paysage verdoyant de bocages et de pommiers, Le Bec-Hellouin est un village typique de Normandie aux maisons à pans de bois et balcons fleuris. Il tient son nom du ruisseau qui le borde et du fondateur de sa célèbre abbaye qui, avec le monastère des Bénédictines, témoigne de l'intense activité religieuse du site.
Entre Rouen et Lisieux, dans un paysage verdoyant de bocages et de pommiers, Le Bec-Hellouin est un village typique de Normandie aux maisons à pans de bois et balcons fleuris. Il tient son nom du ruisseau qui le borde et du fondateur de sa célèbre abbaye qui, avec le monastère des Bénédictines, témoigne de l'intense activité religieuse du site.
Entre Fécamp et Dieppe, installé sur le plateau de Caux surplombant les falaises de la Côte d'Albâtre, Veules-les-Roses offre tous les attraits d'un village entre mer et campagne. Avant de se jeter dans la Manche, la Veules, le "plus petit fleuve de France", propose un parcours verdoyant et fleuri au fil des moulins et des chaumières, tandis que villas et cabines de bains rappellent les origines de la station balnéaire. Un double visage que l'on retrouve également dans l'assiette où produits de la pêche se mêlent au cresson cultivé aux sources de la Veules.
Entre Fécamp et Dieppe, installé sur le plateau de Caux surplombant les falaises de la Côte d'Albâtre, Veules-les-Roses offre tous les attraits d'un village entre mer et campagne. Avant de se jeter dans la Manche, la Veules, le "plus petit fleuve de France", propose un parcours verdoyant et fleuri au fil des moulins et des chaumières, tandis que villas et cabines de bains rappellent les origines de la station balnéaire. Un double visage que l'on retrouve également dans l'assiette où produits de la pêche se mêlent au cresson cultivé aux sources de la Veules.